L’association Dédale soutient la presse alternative, c’est-à-dire qui fonctionne autrement (sans pub, en coopérative, etc.) et qui donne des informations sur les solutions et les luttes écologiques et sociales.

Depuis plusieurs années, nous organisons un dépôt de la Revue S!lence. En 2014, nous avons décidé de relayer d’autres revues sur le territoire de Saint-Quentin-en-Yvelines.

Vous pouvez retrouver les numéros lorsque nous tenons des stands d’information, ou en appelant le 06 86 73 09 94

+ S!lence , « Alternative, écologie, non-violence« 

Dédale reçoit chaque mois des exemplaires de la revue S!lence qui informe des projets et actions alternatives dans différents domaines, propose des brèves sur des luttes écologistes et de droits environnemental et social.

+ Passerelle Eco

Dédale relaie cette revue qui aborde les thèmes de permaculture et d’écovillages.

« L’association et la revue Passerelle Eco ont pour objectif de mettre concrètement un mode de vie écologique à la portée de tous.

A cet effet, la revue diffuse les témoignages, expériences concrètes et savoir-faire, annonces et infos des écolieux de vie et graines d’écovillages et plus largement de tous ceux qui veulent vivre ici et maintenant de manière écologique et harmonieuse, ou qui y contribuent par leurs savoirs faire ou leurs initiatives.

On y trouve en général 3 parties :
- Pratiques écologiques : témoignages, fiches pratiques, savoirs et savoir-faire (permaculture, énergies, habitat, naissance, eaux usées, bricolage, etc)
- Vivre Ensemble : dynamique des groupes (communication, organisation, non violence, prise de décision, coopération, etc) et écolieux de vie (habitat groupés et participatifs, écovillages, collectifs ruraux ou urbains)
- Annuaire, annonce et évènements : l’actu vivante du réseau éco »

+ Lutopik

Dédale reçoit cette revue trimestrielle d’analyses critiques et de témoignages sur des alternatives et des luttes sociales et écologiques.

« Lutopik est d’abord une revue papier. Ce magazine trimestriel diffuse des nouvelles qui, chacune à leur manière, sont autant d’alternatives à un système à la dérive, aussi bien sur le plan social, économique, politique, qu’environnemental. Pour la première fois de notre histoire, nous mettons en péril le fragile équilibre de notre planète.

Tous ces dégâts sont en grande partie liés aux modèles productiviste et capitaliste qui, sous différentes formes, sévissent sur la quasi-totalité du globe. Heureusement, partout aussi, des gens s’engagent sur d’autres voies et développent des manières de vivre différentes. Ce sont ces initiatives que nous voulons développer dans nos colonnes. Des histoires de luttes et d’utopies, sans oublier de dénoncer quelques aberrations de notre époque.

Si nous ne sommes le magazine d’aucun mouvement ni d’aucune organisation, le choix des sujets traités fait de Lutopik un magazine militant. Mais c’est bien au plus grand nombre que nous souhaitons faire connaître les initiatives susceptibles de transformer durablement notre rapport au monde.

Nous souhaitons aussi pratiquer une forme de journalisme qui nous convient : loin d’un bureau, en prenant le temps de partager quelques jours la vie des gens, des lieux qu’on vous présente, soucieux aussi de ne pas se précipiter sur l’actualité et de donner la parole aux différents acteurs concernés par les sujets que l’on aborde.

Ce magazine est itinérant, il est réalisé en grande partie sur les routes, au fil des déplacements et des rencontres. Il mêle reportages, enquêtes, dessins et photos. Vous y trouverez aussi une bande-dessinée, une nouvelle et une petite dose d’humour. Lutopik n’existerait pas sans quelques compagnons qui ont bien voulu y apporter leurs contributions. Il ne pourra pas non plus vivre sans vous, et nous espérons que vous prendrez une part active au journal en laissant vos commentaires et suggestions.

Grâce à votre soutien, vos critiques et vos encouragements, nous progressons, numéro après numéro. La mise en page s’améliore, les contributions artistiques se diversifient. Vos remarques nous sont précieuses, n’hésitez pas à continuer de nous les faire parvenir. »

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